Le patrimoine

La chapelle Saint Tugdual, édifiée au XVI ème siècle.
La chapelle en forme de croix latine est l’ancienne église tréviale.
Elle a été restaurée en 1706, le pignon s’étant effondré.
Les cloches datent de 1634 et 1710.
De nombreuses statues en bois ou en pierre polychromes ornent l’intérieur de l’édifice et constituent un édifice particulièrement riche.
A l’intérieur, on peut découvrir un os de baleine rapporté par Yves de Kerguélen lors de l’un de ses voyages.

L’église ND de Populo, datant du XVI ème siècle.
Notre Dame de Populo fut construite en 1539. En dehors du clocher, et sans doute de la nef datant du XVIII ème siècle, l’édifice appartient ainsi au XVI ème siècle.
L’édifice est de style gothique flamboyant.
L’église possède de nombreuses statues des XVe et XVIe siècles.
L’église est inscrite « monument historique » depuis le 04 mars 1935.

Le manoir de Trémarec dans lequel est né l’amiral de Kerguélen est construit sur un site dont les traces d’habitation remontent au IX ème siècle. A l’origine relativement petit, ce château comporte une façade unie très simple. A l’arrière, un vaste toit s’avance sur une tour gothique pourvue de fenêtres à meneaux.
Propriété privée non visitable.

Le manoir de Kerolven. Jadis, il y avait un manoir au lieu-dit de Kerolven. Aujourd’hui, les grands murs d’enceinte sont encore debout ; par temps sec, les allées qui traversaient sans doute de beaux jardins, apparaissent assez nettement.
Une chapelle se trouvait également à l’intérieur de la propriété. Le pigeonnier, uniquement autorisé pour les seigneurs était à Kerjos. Une pierre datée de 1613, provenant peut-être du manoir ou de la chapelle, est encastrée dans le mur de la maison d’habitation.
Manoir privé non visitable.

Moulin de Kerolven. Ce moulin, autrefois dépendant de la seigneurie du même nom, est en inactivité. Certaines parties remontent aux années 1860 et d’autres ont été refaites récemment
Moulin privé non visitable.

En 1818, on dénombrait 4 moulins sur le site de Landudal. S’ils ne sont plus en activité, leurs vestiges sont encore visibles.

Le « géant à l’anguipède » à Buzudic. C’est un cavalier sur son cheval que représentait à l’origine l’ensemble des blocs de pierres sculptés.
Des morceaux de la colonne qui supportait ce cavalier ont également été retrouvés. Ces différents blocs proviennent de l’ancienne fontaine-lavoir de la chapelle Saint-Drouar, aujourd’hui disparue. Il s’agit d’une œuvre rarissime.